En attendant Eulalie. 5 / Anne-Françoise
Une maison bourgeoise,un dimanche après-midi. Léonie échange avec Françoise, la bonne qui a l'air bien bonne d'écouter la précieuse tante Léonie.
Léonie attend Eulalie à l'heure des vêpres. Elle s'inquiète de la pluie qui menace à la fois ceux qui sont dehors mais aussi pour son intérieur à elle vu qu'elle a des soucis de digestion qu'elle pense être liés à la météo. Elle prend un médicament tout en ouvrant son niveau de messe. Elle lit les textes sans les comprendre vu qu'elle se préoccupe d'abord de l'efficacité de ses gouttes... et les gouttes de pluie se font entendre sur les carreaux.
Léonie entend aussi le grelot de la porte du jardin. « C'est la grand-mère qui sort ! » l'informe la bonne qui ajouté en langage politiquement correct que la grand-mère est « piquée », félée, fada.
La tante Léonie pense que la météo aura empêché Eulalie. Elle attribue ce mauvais temps au Bon Dieu qui se venge du manque de foi du monde. En bref, le texte évoque des soucis digestifs, météorologiques et religieux. Le ciel est tombé sur la tête de la tante Léonie !